La jeune fille et la mort II
Elfriede Jelinek
Une jeune fille, sensée être endormie, parle : «Mon existence est sommeil, c'est pour cela que la vie est ma limite logique.» C'est le début de la fin de La belle au bois dormant, rembobinée par Elfriede Jelinek. «Allez, n'importe quel prince, en avant !» Pas encore embrassée, la princesse parle déjà beaucoup. Le prince, un mâle donc, se fait passer pour Dieu... puisque son job c'est de la ramener d'entre les morts. Chabadabada ? Nee !